Ace – Définition

Au tennis, un ace représente un service gagnant. En d’autres termes, un ace se produit quand le receveur ne parvient pas à renvoyer le service de l’adversaire.

Ace au tennis : définition et explications

On distingue deux types d’aces au tennis : le full ace et l’ace classique. Le full ace est le point le plus répandu et également celui comptabilisé dans les statistiques officielles. Il se caractérise par le fait que le receveur ne parvienne pas à toucher la balle.

À l’inverse, l’ace « classique » se caractérise par le fait que l’adversaire ne parvient pas à renvoyer la balle même s’il a touché cette dernière. Vous suivez ? Voici quelques exemples pour schématiser l‘ace au tennis :

Exemple A : Le serveur sert une balle sur la ligne extérieure du carré de service à l’opposé du receveur. Le receveur ne touche pas la balle. Il s’agit d’un full ace.

Exemple B : Le serveur sert une balle dans le carré de service. Le relanceur touche la balle qui part dans le public. Il s’agit d’un ace classique.

Dans la pratique, l’exemple B est plus souvent décrit comme une faute directe que comme un ace.

L’ace : un atout non négligeable

L’ace est un atout incontestable au tennis. Il est plus souvent réalisé sur la première balle de service, où le serveur peut prendre plus de risques en termes de placement de balle ou de vitesse.

Parmi les réalisateurs d’ace les plus connus, on retrouve de gros serveurs comme Roddick ou Isner mais aussi des joueurs plus polyvalents comme Roger Federer ou encore Féliciano Lopez.

Ivo Karlovic, recordman du nombre d’aces sur le circuit ATP

Le record du nombre d’aces est détenu par Ivo Karlovic, joueur croate qui a réalisé pas moins de 13 582 aces.

Le record de vitesse pour un ace est lui détenu par l’américain John Isner, avec une vitesse de balle enregistrée à 253km/h (157 mph)

Et voilà, vous savez maintenant tout de l’ace au tennis !


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